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 Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné

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Présentation du roman
Ce roman a été écrit par
Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97
pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la
liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il
s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira
de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en
boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
« La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ».
(Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein
tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la
combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de
tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de
la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il
montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a
deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi
humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).



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Biographie








Victor Hugo
(1802-1885)


Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète,
romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants
de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo
sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862).

L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à
la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne
pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il
suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les
bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur
acharné.

Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation
d'Hernani, qui est l'occasion d'une célèbre «bataille»), Victor Hugo
s'affirme comme le chef du romantisme.

De 1830 à 1840, il publie: un grand roman historique, Notre-Dame de
Paris (1831) ; des drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s'amuse
(1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas. (1838); et
surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans
l'expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles
d'automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures
(1837), les Rayons et les Ombres (1840).

Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3
millions de personnes ont assisté à ses funérailles..

Livres écrits par Victor Hugo

Les Misérables
Auteur: Victor Hugo

C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà
lu... ou vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien
Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862,
offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on
sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures
inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo
est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le
français écrit -, ses histoires et son temps.

Notre-Dame de Paris
Auteur: Victor Hugo

Dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de
tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être
pendue. Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers
et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un
véritable chef d'œuvre.


Victor Hugo, Théâtre complet
Auteur: Victor Hugo

Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland
Purnal. Tome 1 . Théâtre de jeunesse : Irtamène - À quelque chose
hasard est bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers :
Cromwell - Marion de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas -
Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers (suite) : Les Burgraves -
Torquemada. Drames en prose : Lucrèce Borgia - Marie Tudor - Angelo,
tyran de Padoue. Théâtre lyrique : La Esmeralda. Théâtre en liberté :
La Grand-mère - L'Épée - Mangeront-ils? - Sur la lisière d'un bois -
Les Gueux - Être aimé - La Forêt mouillée. Théâtre moderne : Mille
francs de récompense - L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936
pages. Bibliothèque de la Pléiade (No 170), Gallimard.


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<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>Fiche pratique

Auteur :
Victor Hugo

Titre et date de publication:
Le dernier jour d'un condamne , publié en 1829.

Genre :
Récit à la première personne ; adoption des techniques de
l’autobiographie, le journal intime en particulier.

Histoire :

Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il
raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne
savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à
mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut
dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs
et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand
arrive le moment de l’exécution.

Composition :

Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche
et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer
à la loterie ;
L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le
voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.

Personnages :

Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule

Cadre:

Lieux :
Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.

Durée :
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à
mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.

Thèmes :

La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence
contre les prisonniers / l’injustice / la justice

Enonciation, focalisation :

Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne.
Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne : accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde..
</td>
</tr>

</table>

<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>
CADRE SPATIO-TEMPOREL :




L’histoire se passe dans les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la
Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui
passe depuis le moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au
moment où il monte sur l’échafaud pour être guillotiné.
Chapitre I : « 5 semaines ».
Chapitre VIII : le narrateur dresse un calendrier approximatif du temps
qu’il lui reste à vivre : il est déjà dans la dernière semaine.






synopsis





Le livre se présente comme le journal qu'un condamné à mort écrit
durant les vingt-quatre dernières heures de son existence et où il
relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de
son exécution soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long
monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de
souvenirs de son autre vie, la vie d’avant. Le lecteur ne connaît ni le
nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné (il existe
quelques vagues indications qui laisseraient croire qu’il a tué un
homme) : l’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur
l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances
quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les conditions de
vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats.
Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme…
</td>
</tr>

</table>
<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>Le personnage principal

Le personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un
truand. Il semble cultivé, sait lire et écrire et connaît même quelques
mots en latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec
l'argot parlé par la friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne
décèle en lui aucune grandeur particulière, il est le jouet de
sentiments classiques : la peur, l'angoisse, la colère, l'amertume, la
lâcheté, l'égoïsme, le remord... Jusqu'au bout, il espère sans y croire
un grâce royale qu'il n'obtiendra jamais.

On découvre quelques bribes de sa vie passée : il a une mère et une
femme qui sont évoquées brièvement, l'homme semble être résigné sur
leur sort. On s'attache plus longuement sur l'évocation de sa fille
Marie qui est la seule visite qu'il reçoit avant son exécution mais qui
ne le reconnaît pas et croit son père déjà mort. Il raconte aussi sa
première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille de son enfance. On ne
sait rien de son crime, sinon qu'il reconnaît mériter la sentence et
qu'il tente de s'en repentir. Croyant, il n'a cependant pas une
spiritualité telle qu'il puisse trouver dans la prière la consolation,
ni suivre le discours du prêtre qui l'accompagne du matin jusqu'à
l'heure de son exécution.

Le faux chapitre XLVII, censé raconter sa vie est vide.

Victor Hugo s'est longuement expliqué sur l'anonymat de son personnage.
Il ne voulait pas qu'on puisse s'attacher à l'homme, en faire un cas
particulier, dire « celui-là ne méritait pas de mourir mais d'autres
peut-être.... » Il devait représenter tous les accusés possibles,
innocents ou coupables car selon Victor Hugo, la peine de mort est une
abomination pour tous les condamnés.

Tanawiyaty
</td>
</tr>

</table>

<table border="1" height="100%" rules="none" width="100%">

<tr>
<td>Le schéma narratif du récit:

Situation initiale:
Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa
fille Marie, sa femme et sa mère jusqu'au jour du crime qui a
bouleversé sa vie.

NB:
Le récit commence in medias res c'est-à-dire le moment où l'action est
déjà engagée. Puisque le plus important est la contestation de la peine
de mort, l'auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe
directement aux faits. Toutefois il nous est facile de déduire cette
situation initiale à travers les flashes back. (Analepses, retour en
arrière).

Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage.

Péripéties:
Le jugement, l'emprisonnement, la condamnation à la peine de mort,
recherche du condamné d'une solution pour préserver sa vie.

Dénouement:
Il n'y a pas de dénouement. Le condamné garde l'espoir jusqu'à quelques
moments avant l'exécution, mais à ce moment-là les bourreaux préparent
l'exécution. C'est une clausule ouverte, aux lecteurs d'imaginer la fin
puisque pour l'auteur ce qui compte c'est la dénonciation de l'horrible
peine de mort.

Situation finale: L'auteur a fait l'ellipse de la situation finale pour amener le lecteur à réfléchir.
</td>
</tr>

</table>
<table border="1" height="100%" rules="none" width="100%">

<tr>
<td>
Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné 4699_kerz%5B1%5D

Le schéma actanciel du récit


</td>
</tr>

</table>

<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td valign="top">

Personnages






le condamné à mort :
nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort.
Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il
sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a
fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des
phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une
fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des
voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune
fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que
pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et
lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa
fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI :
"Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle
sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les
tendresses de mon coeur."

les geôliers:
quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas.
Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de
choses et d’autres qui le traitent comme un animal.

Sa fillette:
Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en
prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle
parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce
que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne
voit plus depuis plusieurs mois.

[b]Sa femme et sa mère :

Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la
souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la
famille du condamné a mort : "J’admets que je sois justement puni ; ces
innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les
ruine. C’est la justice." (chap.IX)

[b]Le prêtre:

Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le
protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement
de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.

[b]La foule :

C’est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très
nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister
à un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la
guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le
condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.

[/b][/b][/b]</td>
</tr>

</table>



Personnages








le condamné à mort :
nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort.
Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il
sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a
fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des
phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une
fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des
voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune
fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que
pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et
lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa
fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI :
"Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle
sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les
tendresses de mon coeur."

les geôliers:
quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas.
Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de
choses et d’autres qui le traitent comme un animal.

[b]Sa fillette:

Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en
prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle
parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce
que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne
voit plus depuis plusieurs mois.

[b]Sa femme et sa mère :

Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la
souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la
famille du condamné a mort : "J’admets que je sois justement puni ; ces
innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les
ruine. C’est la justice." (chap.IX)

[b]Le prêtre:

Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le
protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement
de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.

[b]La foule :

C’est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très
nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister
à un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la
guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le
condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.
[/b][/b][/b][/b]

[b][b][b][/b][/b][/b]
<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>
Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné 4699_general


Dans la prison de Bicêtre, un condamné à mort ( le narrateur) attend le
jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses
espoirs fous et ses pensées. Le narrateur nous rappelle les
circonstances de son procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa
cellule ( chapitre 10/12 ). Il évoque ensuite le départ des forçats au
bagne de Toulon ( chap. 13/15 ). Il nous rapporte la complainte en
argot d'une jeune femme à l'infirmerie ( chapitre 16 ) .Désespéré, il
décide alors de s'évader ( chapitre17). on vient lui apprendre que son
exécution aura lieu le jour même.( chapitre 18/19 ).

Le narrateur sera transféré ensuite à la conciergerie ( chap. 22) , il
y rencontre un autre condamné à mort ( chap. 23/24). Son séjour en
prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les
hallucinations et les cauchemars .Il se demande comment on meurt sous
la guillotine. ( chap. 27). Il reçoit après la visite d'un prêtre qu'il
trouve placide et sans compassion devant son état. ( chap30)

La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne
le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément.

Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de
condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se
dresse l'échafaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné
en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant
le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il
sait déjà que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche
pour décapiter le condamné.
</td>
</tr>

</table>

[b][b][b][/b][/b][/b]
<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>
Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné 4699_resume2

Le livre est l'histoire d'un homme qui a été condamné a mort et, alors,
il se propose d'écrire ce qu'il vit pendant ses dernières semaines de
vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait pour être
condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme
ce que veut dire être condamnés à mort.

Cet homme nous dit tout ce qu'il fait quand il est en prison ; il
devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des
forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillottine ;
il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent.

Il continue à espérer dans la grâce qu'il n'aura jamais.

Il nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il
nous dit qu'il a été content parce qu'il a pu la voir, mais il n'est
pas content parce qu'elle ne l'a pas reconnu. Il nous décrit quelque
aspect de son passé : une rencontre avec une jeune fille; il décrit des
monuments qu'il a vus.

Il cesse d'écrire quand le moment de l'exécution est arrivée : "Quatre
heures". Le livre est séparé en trois parties : Bicêtre, la
Conciergerie et la Mairie qui sont elles-mêmes séparées en trois
parties : Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
la Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche
et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer
à la loterie ; enfin l'Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la
toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève où est
installé l'échafaud.


</td>
</tr>

</table>

[b][b][b][/b][/b][/b]
<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td>
Composition de l’œuvre.





Le livre est découpé en 49 chapitres de longueurs très variables allant
d'un paragraphe à plusieurs pages. Victor Hugo rythme ainsi la
respiration du lecteur et lui fait partager les états d'âme du
condamné, ses éclairs de panique et ses longues souffrances. On
distingue trois lieux de rédaction
Bicêtre où le prisonnier évoque son procès, le ferrage des forçats et
la chanson en argot. C'est là qu'il apprend qu'il vit sa dernière
journée.
La Conciergerie qui constitue plus de la moitié du livre. Le condamné y
décrit son transfert vers Paris, ses rencontres avec la friauche,
l'architecte, le gardien demandeur de numéros de loterie, le prêtre, sa
fille. On partage ses souffrances, son angoisse devant la mort, sa
repentance, sa rage et son amertume.
Une chambre de l'Hôtel de Ville où sont écrits les deux derniers
chapitres, un très long relatant sa préparation et le voyage dans Paris
jusqu'à la guillotine, l'autre très court concernant les quelques
minutes qui lui sont octroyées avant l'exécution.

On remarque aussi plusieurs rétrospectives qui sont souvent des chapitres :
Chapitre II : Le procès
Chapitre IV et V : le transfert et la vie quotidienne à Bicêtre
Chapitre XIII et XIV : le ferrage et le départ des forçats
Chapitre XXVIII : le souvenir de la guillotine
Chapitre XXXIII : Pepita

Descriptions présentes :
celle de Bicêtre au chapitre 4
celle du cachot au chapitre 10
celle de l’Hôtel de Ville au chapitre 37
celle de la place de Grève au chapitre 3

Diverses informations :
chapitre 8 : l’homme compte les jours qu’il lui reste à vivre
chapitre 9 : l’homme pense à sa famille
chapitre 13 :le ferrage des forçats
chapitre 16 : chanson d’une jeune fille lorsque l’homme séjourne à l’infirmerie
chapitre 22 : transfert du prisonnier à la Conciergerie
chapitre 23 : rencontre du successeur au cachot de Bicêtre
chapitre 32 : demande du gendarme par rapport aux numéros de la loterie
chapitre 42 : rêve avec la vieille dame
chapitre 43 : le condamné voit une dernière fois sa petite fille qui ne le reconnaît pas
chapitre 48: transfert à l’Hôtel de Ville
toilette du condamné
on emmène le prisonnier à la guillotine.

Tanawiyaty</td>
</tr>

</table>

[b][b][b][/b][/b][/b]
<table height="100%" width="100%">

<tr>
<td valign="top">

Résumé chapitre par chapitre 1





Résumé du chapitre I :


Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne :
Interprété dans sa cellule de Bicêtre, le narrateur se rappelle son
passé de liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa
condamnation à mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est
présentée comme une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et
le poursuit partout.

Résumé du chapitre II :


Récit de la proclamation de la condamnation à mort :
Le narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de
sa condamnation à mort. Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle
d’audience, l’atmosphère qui y régnait et les gens qui ont assisté à
son procès. Séduit par les lumières, par les couleurs, par les bruits,
le narrateur chante la vie à travers ses sensations et ses impressions
dans une ambiance totalement contradictoire. Alors qu’il semble
apprécier la vie dans toutes ses dimensions, les jurés le condamnent à
mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses yeux.

Résumé chapitre III


Retour au monologue interne :
Le narrateur se livre à une réflexion sur le bien-fondé de sa
condamnation à mort. Il estime que les humains sont tous des condamnés
à mort. Ce qui diffère c’est la manière et le temps.

[b]Résumé chapitre IV
[/b]
[b]
Retour au récit de l’incarcération à Bicêtre :
L’arrivée à Bicêtre. En attendant son pourvoi (=recours auprès d'une
juridiction supérieure contre la décision d'un tribunal) en cassation,
le narrateur est conduit à la prison de Bicêtre. De loin le prison
ressemble à un château de roi mais de plus près elle est délabrée(=en
ruine, dans un très mauvais état) et vétuste (=qui porte les marques de
la vieillesse).
[/b]
[b] [b]Résumé du chapitre V
[/b][/b]
[b][b]
Suite du récit de l’incarcération à Bicêtre :
Lorsque le narrateur est arrivé à Bicêtre, les gardes lui ont défendu
tout objet tranchant qui pourrait servir à un suicide puis ils lui ont
remis une camisole. Durant les premiers jours de ses séjours à Bicêtre
le narrateur a été bien traité mais battu par la suite comme n’importe
quel prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont été acceptées
comme le papier, l’encre, les plumes et une lampe. De même, il pouvait
sortir dans la cour chaque dimanche, ainsi il a côtoyé les autres
prisonniers et a appris leur argot.
[/b][/b]
[b][b] [b]Résumé du chapitre VI
[/b][/b][/b]
[b][b][b]
Alors le narrateur a décidé de noter son journal de châtiments.
L’écriture devient une justification à la vie terne et monotone de la
prison. Il décide d’écrire pour communiquer ses souffrances morales
afin d’amener les décisions a abolir la peine de mort. Il réalise à qu’
il s’attache à la vie.
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[b][b][b] [b]Résumé du chapitre VII
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[b][b][b][b]
Le narrateur s’attarde sur sa situation et espère qu’on s’intéresserait
un jour à son cas. Mais l’idée de sa condamnation continue de l’obséder
et le torturer
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[b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre VIII
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[b][b][b][b][b]
En attendant son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps
à compter les jours qui lui restent à vivre, il lui reste donc six
semaines.
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[b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre IX
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Le narrateur regrette de laisser derrière lui sa femme, sa mère et
surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources.
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[b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre X
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Le narrateur décrit sa cellule, c’est une petite pièce à quatre murs en
pierre avec une voûte et une petite porte en fer où il y a une petite
ouverture servant de fenêtre. Il y a aussi un matelas en paille. A
l’extérieur il y a un couloir qui relie les autres cellules et un garde
permanent
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[b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 11
[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b]
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Pour passer le temps le narrateur lit et tente de comprendre les
inscriptions et les dessins sur les murs de sa cellule. Attiré par des
mots écrits par un sous-officier guillotiné pour ces idées
républicaines, il est pris de panique à la vue de l’échafaud dessiné
sur le mur.
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[b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 12 :
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Le narrateur découvre les noms de quatre criminels célèbres passés par
la même cellule. Les sont écrits à coté du nom de Papavoine, un
criminel qui tuait les enfants. Il est alors pris de terreur à l’idée
de la mort et du tombeau.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 13
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Récit des préparatifs au départ des forçats pour Toulon :
Le narrateur raconte qu’un jour la prison était très agitée par le
départ des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre
ce spectacle à travers une fenêtre, le narrateur s’attarde sur la
description de la grande cour de Bicêtre, des bâtiments vétustes, des
fenêtres grillées et principalement sur les visages des prisonniers qui
regardent à travers ces fenêtres. Le spectacle du départ commence à
midi avec l’entée (=greffer) d’une charrette transportant des chaînes
servant à attacher les forçats et portant les habits qu’ils vont mettre
pour le départ. Ensuite, les argousins étendent ces chaînes dans un
coin de la cour. Quand ce travail est fini, l’inspecteur donne l’ordre
au directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour où ils
sont acclamés par les prisonniers / spectateurs. Puis on les présente à
l’appel après leur avoir fait passer une visite médicale. Au moment où
les forçats se préparent pour mettre les vêtements du voyage, une pluie
torrentielle commence à tomber. Accablés de froid dans leur nudité, les
forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaîne dans des
cordons que deux forgerons fixent à leurs pieds et on leur donne à
manger. Ce spectacle désolant rend le narrateur enragé, il tente de
s’enfouir mais il n’arrive pas et s’évanouit sur le champ.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 14
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Après s’être transporté à l’infirmerie, le narrateur a repris
connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture
dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de
cinq charrettes transportant les forçats le réveille. Conduit par des
gendarmes à cheval et des argousins à pieds, le convoi prend départ
pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu
par ce spectacle désolant, le narrateur préfère la guillotine à la
galère.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 15
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Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée de sa
condamnation continue de le torturer moralement au point où il espère
obtenir une grâce car il tient à la vie plus que jamais. Mais il est
trop tard.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 16
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Quand le narrateur était à l’infirmerie, il avait entendu la voix d’une
jeune fille de quinze ans chanter une chanson où il est question
d’assassinat et de mort. Il fut terrifié parce que tout est prison à
Bicêtre, tout lui rappelle la mort.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé chapitre 17
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Le narrateur rêve d’évasion mais son rêve ne peut être réalisé, il est
interrompu par l’idée de l’incarcération et de la condamnation.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 19
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Le directeur de la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour
lui demander s’il se plaint d’un quelconque mauvais traitement. Pris de
panique, le narrateur croit que l’heure de son exécution est venue.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 20
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Terrifié, le narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre à
moitié humain, à moitié objet qui le torture, le boire et le tue.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 21
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A six heures et demi du matin le narrateur a été visité dans son cachot
par un prêtre puis par l’huissier (officier ministériel chargé de
signifier les actes de procédure et de mettre à exécution les jugements
de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du
pourvoi en cassation et son transfert à la Conciergerie.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 22
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Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui
l’a ramené à Bicêtre vers Paris, le convoi arrive à Paris vers huit
heures et demi du matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée
pour ne pas manquer l’exultation.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 23
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Une fois arrivé au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi
d’une certaine liberté qui n’a pas tardé à disparaître à la vue des
sous-sols. Remis par l’huissier au directeur, le narrateur a été
enfermé dans un cabinet en compagnie d’un autre condamné âgé de 55 ans
et qui attend à son tour son transfert à Bicêtre. Après avoir entendu
l’histoire du vieux, le narrateur a échangé, par peur, sa redingote
contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit à une chambre dans
l’attente de son exécution.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 24
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Le narrateur regrette amèrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur.
Résumé du chapitre 25
Le narrateur est amené ensuite à une cellule où on lui a donné une
table, une chaise et tout pour écrire. Mais on a installé avec lui un
gendarme pour empêcher toute tentative du suicide.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 26
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Le narrateur a écrit une lettre à sa fille dans laquelle il exprime
toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de vouloir
laisser une enfant de trois ans orphelin. L’attente de l’exécution
semble exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espère un
miracle pour le sauver.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 27
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Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point
où il n’ose pas écrire le mot « guillotine ». il imagine que son
exécution sera atroce.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 28
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]
Ayant déjà assisté à une exécution, le narrateur imagine comment sera
la sienne. Il croit que les préparatifs ont déjà commencé par le
graissage de la rainure.

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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 29
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]
Dans un moment de délire, le narrateur espère la grâce royale mais en vain
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 30 :
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Le prêtre est revenu consoler le narrateur et l’assister dans ces
derniers moments. Le prêtre qui exerce cette fonction depuis des années
se fait renvoyé par le narrateur qui veut rester seul pendant sa
réflexion.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé chapitre 31
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Dans ces derniers moments de retranchement, l’architecte de la prison
est entré dans la cellule où se trouve le narrateur pour prendre des
mesures afin de rénover les murs l’année suivante puis il échange des
propos avec le narrateur avant de se faire renvoyé par le gendarme.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 32 :
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Le gendarme chargé de surveiller le narrateur a été échangé par un
autre, un superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur
de le visiter dans ces rêves, une fois mort, pour lui donner des
numéros gagnants. Le narrateur lui demande en échange ses vêtements en
vue d’une éventuelle évasion, mais le gendarme ridicule refuse et le
désespoir regagne le narrateur.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 33
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Le narrateur sentant l’heure de la mort approcher se réfugie dans le
rêve. Il retrouve des souvenirs d’enfance et de jeunesse en compagnie
de sa bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir
d’une soirée passée ensemble où ils sont échangés des bises.
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[b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b][b] [b]Résumé du chapitre 34
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Le narrateur retrouve dans le souvenir ses années d’innocence mais il
revoit en crime et tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le
temps de le faire. Il en pense qu’à son heure qui approche.
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Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent à leurs taches quotidiennes.
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Le narrateur se rappelle le jour où il est allé voir la cathédrale
Notre-Dame de Paris. Au moment où il est arrivé au sommet de la tour,
la cloche a sonné et a fait trembler tout le toit. Heureusement il a
évité une chute mortelle.
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Le narrateur revoit l’Hôtel de Ville dont l’aspect triste lui rappelle
la Grève au moment des exécutions avec les rassemblements des
spectateurs.
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L’heure de l’exécution approche, il ne lui reste que deux heures et
quarante cinq minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs
physiques atroces.
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Le narrateur imagine comment il va vivre le moment de son exécution. Il
vit ce moment par prévision. Mais le fait d’y penser le fait souffrir
davantage.
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</td></tr></table>
ÇáÑÌæÚ Çáì ÃÚáì ÇáÕÝÍÉ ÇÐåÈ Çáì ÇáÃÓÝá
samir
ãÔÑÝ Ñßä ÕæÑ ÔÈÇÈ ÇáÚÑÈ
ãÔÑÝ Ñßä ÕæÑ ÔÈÇÈ ÇáÚÑÈ
samir


ÚÏÏ ÇáÑÓÇÆá : 286
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Poussé par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X
en espérant une éventuelle grâce.
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Le narrateur décide d’affronter la mort avec courage. Il imagine alors
ce que sera sa vie après la mort. Cela pourrait être des abîmes de
lumières sans fin ou des gouffres hideux où tout sera noir et où le
narrateur tombera sans cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se
rassembler dans la place de la Gréve pour assister à l’exécution du
bourreau par un démon. Le narrateur voudrait savoir ce qu’il adviendra
de son âme après la mort. Dans ce moment de crise à l’approche de
l’exécution le narrateur réclama un prêtre pour soulager sa douleur
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Après l’arrivée du prêtre, le narrateur a dormi pendant quelques
instants. Il a fait alors un rêve étrange : il rêve qu’il était chez
lui avec des amis, qu’ils avaient parlé de quelque chose qui les avait
effrayés puis ils avaient entendu un bruit dans la maison, c’était une
vielle femme qui s’était cachée dans la cuisine. Au moment où il a rêvé
que la vielle le mordait, il s’est réveillé puis on lui a annoncé la
présence de sa fille.
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Malheureusement sa fille ne l’a pas reconnu. Elle ne l’a pas vu depuis
un an. Il a tenté de lui faire comprendre qu’il est son vrai père mais
la fille ne l’a pas cru. Rien ne le rattache à présent à la vie. Il se
laisse conduire à la mort docilement.
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Pendant l’heure qui lui reste à vivre le narrateur se ressaisit et
revoit dans son esprit comment sera son exécution. Il pense au
bourreau, à la foule, aux gendarmes et à la place de Grève.
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Il imagine la foule en train de l’applaudir, une foule insensible à ses
souffrances. Il pense à ce lieu fatal qui est la place de Grève et à
toutes les têtes qui tomberaient après lui dans l’indifférence totale.

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Il pense à sa fille qui l’a déjà oublié et veut lui écrire une histoire.
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Le narrateur n’avait pas le temps pour écrire son histoire.
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L’heure de l’exécution est arrivé, on demande au narrateur de se
préparer mais il se sent faible. On l’a emmené dans une chambre au
rez-de-chaussée du palais de Justice où son bourreau avec ses deux
valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux puis on lui a attaché
les mains derrière le dos et on a coupé le col de sa chemise ensuite on
lui a lié les deux pieds puis on lui a noué les deux manches de sa
veste sur le menton. On l’a pris sous les aisselles pour le conduire à
la guillotine. La foule est là qui attend hurlante. Les gendarmes, les
soldats sont aussi là pour accompagner le condamné. Mis dans une
charrette avec le prêtre, le narrateur frémit de peur devant cette
foule enragée. Sur le chemin qui mène à la place de Grève la foule
s’est attroupée. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont-
au- Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. Attiré
par une Tour, le narrateur demande au prêtre des informations sur cet
édifice. Ce dernier lui a dit qu’elle s’appelle crucifix et le baise
pour avoir du courage à affronter la foule qui semble l’effrayer plus
que la mort.
Passant par le quai, le narrateur entre dans une sorte d’ivresse qui
enveloppe son esprit et le coupe de la réalité au point où il ne
distingue plus rien. Son corps commence à sentir la mort. Tout défile
devant ses yeux sans qu’il puisse y accorder la moindre attention.
Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive à
la place de Gréve, le narrateur demande alors une dernière faveur :
écrire ses dernières volontés.
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Poussé par son instinct de la survie, le narrateur supplie un
commissaire chargé de suivre l’exécution de lui accorder cinq minutes
dans l’espoir d’avoir une grâce au dernier moment. Malheureusement on
est venu le chercher à quatre heures de l’après-midi pour l’exécuter.
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Résumé de l'oeuvre : chapitre par chapitre 2





CHAPITRE1

Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée
de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans
une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée :
condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre
chose.

CHAPITRE2

De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa
condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa
réaction au verdict fatal.

CHAPITRE3

Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de
choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis.
Peu importe ce qui lui arrive.

CHAPITRE4

Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.

CHAPITRE5

Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à
améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à
quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en
prison.

CHAPITRE6

Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de
se mettre à écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier
ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient
moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort. C’est sa
contribution à lui pour abolir la peine capitale.

CHAPITRE7

Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre
têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne.

CHAPITRE8

Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines
dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.

CHAPITRE9

Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes
qu’il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C’est
pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus.

CHAPITRE10

Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il
décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux
forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux
condamné à la peine capitale.

CHAPITRE11

Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa
cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par d’autres
prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.

CHAPITRE12

Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre
les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.

CHAPITRE13

Le narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a
eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des
forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un
vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des
geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à
ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.

CHAPITRE14

Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre ,
il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne
de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.

CHAPITRE15

Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté
dans l’infirmerie mais voilà qu’il est repris par l’idée de la mort
qu’il pense à s’évader.

CHAPITRE16

Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à
l’infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu’il a entendu
chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.

CHAPITRE17

Il pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison
dans le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un
gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé

CHAPITRE18

Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il
demande à notre condamné ce qu’il désire à manger.

CHAPITRE19

Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se
montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.

CHAPITRE20

Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout
autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers…

CHAPITRE21

Le condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle
de l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté
et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il
reviendra le chercher dans une heure.

CHAPITRE22

Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage
et sa discussion avec le prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se
montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la
carriole est déjà devant la Cour.

CHAPITRE23

L’huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet
voisin, il fait une rencontre curieuse avec un condamné à mort qui
séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien
condamné à mort lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote .

CHAPITRE24

Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote.

CHAPITRE25
Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur
sa demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.

CHAPITRE26
Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans
père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.

CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud.

CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.

CHAPITRE29
Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il
estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en
attendant qu’un jour arrive la grâce.

CHAPITRE30
Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa
présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la
souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate
et bien garnie, il ne peut manger.

CHAPITRE31
Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la
cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.

CHAPITRE32
Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il
demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui
révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut
profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses
vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier
veut s’évader.

CHAPITRE33
Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs
d’enfance et de jeunesse.Il s’arrête longuement sur le souvenir de
Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a
passé une belle soirée d’été.

CHAPITRE34
Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime.
Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de
l’autre ( sa victime) et le sien( le coupable)

CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à
vivre le plus normalement au monde.

CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le
bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)

CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville.

CHAPITRE38
Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il
a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.

CHAPITRE39
On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite.
Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque
aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer.

CHAPITRE40
Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant
attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère toujours.

CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il
demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser

CHAPITRE42
Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un
cauchemar et se réveille frémissant, baigné d’une sueur froide.

CHAPITRE43
La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué
devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas.
Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.

CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite
de sa fille l’a poussé dans le désespoir.

CHAPITRE45
Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son
exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-être
des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.


CHAPITRE46
La petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de
lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifier aux les yeux de sa
fille.

CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de l’éditeur : les feuillets qui se
rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n’a pas
eu le temps de les écrire

CHAPITRE48
Le condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures,
on vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui
coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se
dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui
attendent l’exécution.

CHAPITRE49
Le condamné demande sa grâce à cette personne qu’il croyait juge,
commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq
minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de
la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà
qu’on vient le chercher…

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Arguments pour la peine capitale






_ Un meurtrier prive un individu de sa vie. De quel droit et au nom de quoi ?

_ Aucun individu ne peut se permettre d'une façon arbitraire de tuer, violer, etc.

_ la peine de mort n'est pas un moyen de répression mais une forme de
prévention ou tout du moins de dissuasion.

_ Si la vie est sacrée pourquoi laisser le droit a certaines personnes
d'en faire ce qu'elles veulent ?

_ En quoi une société se discrédite en adoptant la peine de mort ?

_. Les crimes commis qui font mériter la peine de mort permettent-ils
encore de considérer l’assassin comme un être humain ? Les droits de
l’homme ne peuvent par conséquent plus être invoqués quand on parle de
peine de mort.

_ Les erreurs judiciaires : il ne faut pas non plus exagérer. Ils sont
totalement fiables. OÙ La question de la condamnation des innocents
n’est pas celle de la peine de mort, mais de la faillibilité de la
justice.
_. La peine de perpétuité est tout aussi inhumaine : c’est condamner à
vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité,
le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un
animal.
_. Un meurtrier, un violeur etc. n’a jamais l’impression d’avoir fait
du mal, on ne peut attendre qu’il mette lui-même un terme à ses jours
_. Il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité
(selon les pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils
sortent, même très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette
probabilité, même si elle est infime. 4. mieux vaut une erreur
judiciaire et la condamnation à mort d’un suspect, que la mort de
nouvelles victimes qui n’auront même pas eu la chance de passer devant
un tribunal. Il y aura toujours plus de victimes de récidivistes
libérés après une peine plus ou moins longue, que de condamnés à mort
par erreur.
_. Pour un criminel qui deviendra un ange, combien seront libérés sous
serment et recommenceront une, dix, cent fois avant d’être repris ?
_. La majorité de la population est pour son rétablissement en France
_. Cela ne fait pas revenir la victime, mais au moins les familles de
victimes sont apaisées, car elles savent qu’il n’est plus possible que
ce mal frappe à nouveau.
_. il est choquant de payer pour des meurtriers que l’on garde en
prison (à moins qu’ils ne paient leur dette contractée envers la
société par des travaux d’intérêt généraux par exemple).
_. un récidiviste libéré peut, dans sa vie privée, même s’il se conduit
bien dans sa vie publique, reproduire le cercle vicieux dont il a été
lui-même victime : personne ne sera là pour vérifier qu’il ne bat pas
ses enfants, ou pire, par exemple. Il s’agit donc aussi de casser ce
cercle vicieux de la reproduction dont les psy nous parlent tant.
_. nous ne savons pas si la peine de mort fait baisser le taux de
criminalité, mais ce dont on est sûr, c’est qu’elle ne le fait pas
monter ! Son impact n’est certainement pas nul. Choisissons donc la
solution dont nous sommes sûrs.
_. ce n’est pas être contre les droits de l’homme que d’être pour la
peine de mort, puisque la perpétuité bafoue les droits et la dignité de
l’homme (575 pers. en ‘9
_. beaucoup de pays dits ‘non- démocratiques’ ont aboli la peine de
mort : Angola (1992), Azerbaïdjan (1998), Croatie (1990) , Équateur
(1906), Georgie (1997), Haïti (1987), Honduras (1956), Lituanie (1998),
Mozambique (1990), Namibie (1990), Népal (1997), Nicaragua (1979),
Roumanie (1989), Timor Oriental (1999), etc (source écart-type) ;
Turquie (2002) (source : la Voix du Nord du 5.8.2002)
_. Des pays dits démocratiques ont encore la peine de mort (les
Etats-Unis surtout, pour certains Etats, ainsi que le Japon)
_. On fait de l’assassin la victime, en s’occupant de lui et en lui
trouvant des excuses (passé, éducation, etc.)
_. Mieux vaut consacrer les ressources limitées dont notre société
dispose (hommes, temps, argent, etc.) pour développer celles et ceux
qui n’ont fait de mal à personne et qui le méritent largement plus, que
de s’occuper des anciens meurtriers et violeurs, pour qu’ils reviennent
dans le bon chemin.
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Résumé de ' Le dernier jour d'un condamné
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